Côte Mordue par Otodus megalodon
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Côte Mordue par Otodus megalodon. Ces découvertes, bien que rares, sont cruciales pour comprendre l’écologie de ce super-prédateur. Sacao, Pérou.
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| Dimensions | 8 × 4 cm |
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Description du produit
Côte Mordue par Otodus megalodon
Côte Mordue par Otodus megalodon. Les fossiles de côtes, vertèbres et autres ossements de mammifères marins portant des marques de dents sont des preuves directes et irréfutables du régime alimentaire de l’Otodus megalodon. Ces découvertes, bien que rares, sont cruciales pour comprendre l’écologie de ce super-prédateur.
Les marques de morsure du Mégalodon sont le plus souvent trouvées sur les restes de cétacés (baleines) et de pinnipèdes (phoques, otaries, morses).
- Localisations Clés : Les gisements côtiers du Miocène, notamment ceux de la Formation Pisco au Pérou et les sédiments de Caroline du Nord et du Sud aux États-Unis, sont des lieux privilégiés pour ce type de trace fossile.
- La Proie : Les pinnipèdes (phoques fossiles) étaient des proies riches en énergie et relativement moins massives que les grandes baleines. La découverte d’une côte de phocide mordue suggère que le Mégalodon ciblait activement cette source de nourriture.
Pour qu’une marque de morsure soit attribuée au Mégalodon, plusieurs critères doivent être respectés, en particulier l’analyse des traces laissées par les dentelures.
| Caractéristique de la Trace | Révélation Écologique |
|---|---|
| Encoches Parallèles | Les marques sur l’os forment une série d’entailles parallèles espacées d’environ 3 à 5 mm. |
| Profondeur et Angle | La morsure est souvent très profonde, traversant l’épaisseur de l’os (telle qu’une côte), avec un angle de coupe net. |
| Largeur de la Morsure | La courbe de la morsure, si elle est visible, doit correspondre à l’arc de la mâchoire d’un grand individu (O. megalodon). |
L’étude de la localisation des marques de morsure sur les proies permet de déduire la stratégie de prédation du Mégalodon, qui est différente de celle du Grand Requin Blanc moderne.
- Ciblage des Tissus Durs (Osseux) : Les marques sur les côtes ou les vertèbres indiquent que le Mégalodon ne se contentait pas de mordre les nageoires ou les tissus mous. Il visait délibérément la structure osseuse et le centre du corps pour immobiliser et neutraliser rapidement sa proie.
- Attaque Ciblée : Sur les cétacés, les marques sont souvent concentrées autour des régions riches en os, comme la cage thoracique (pour percer les organes vitaux) ou la queue (pour empêcher la fuite).
- Différence avec le Grand Requin Blanc : Le Grand Requin Blanc moderne attaque souvent les pinnipèdes ou les otaries par le bas, visant d’abord l’abdomen pour provoquer une hémorragie. Le Mégalodon, par sa taille et sa force, pouvait se permettre d’attaquer directement le tronc de sa proie, même en mordant à travers des côtes robustes.
Ces fossiles de côtes mordues sont donc des instantanés d’une violence préhistorique, nous offrant une fenêtre unique sur le rôle de super-prédateur de l’Otodus megalodon dans l’écosystème marin miocène.
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